Germaine un jour très
court vêtue
Et sous sa jupe,
presque nue
Se promène le long
d’un champ
Où paissent deux
chevaux normands.
L’un d’eux fringant
et sémillant
Ayant senti dans la
nature
Quelques effluves
affriolants
S’approche d’elle en
présentant
Une insolente
disposition
Qui ne voilait ses
intentions.
Par cet égard à son
sujet
Que l’animal débridé
A le toupet d’envisager
Car dans l’état où
est la bête
Elle sait bien que,
sous sa jupette
Telle visite
pernicieuse
Serait pour elle
monstrueuse.
Bien protégée par la
barrière,
Passant la main dans
la crinière
Elle encourage
l’animal
A satisfaire à son
devoir,
En allant joindre sa
compagne
Qui, impatiente à
recevoir
Si vigoureuse et
belle empoigne,
Caracole devant le
mâle.
Germaine apprécie le
moment
Et dans ses yeux
brille un instant
Comme un regret,
comme une envie
Peut-être un peu de
jalousie
Car tout de même la
jument
Profite d’un fort bel
outil
Que n’a pas dans son
pantalon
Son p’tit mari à la
maison.
Par l’épisode
impromptu
S’en est allée par
les chemins
En oubliant son p’tit
chagrin.
Dessous la jupe, le
membre équin
A éveillé de la passion
Car sous la couette
un peu plus tard
Dame fait tant de
dévotions
Pour rendre son époux
gaillard,
Que sur son dos
pendant l’action…
………………………………….
Est-est-ce un rêve ou
l’émotion ?
Il lui sembla………………..
……………….C’est folichon !
………………………………..
Entendre hennir un
étalon !
Jmie (20/02/2011)
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